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Psychologie positive - Path Seekers

Psychologie positive

Le chemin
de la psychologie positive

Parlons Histoire….

 

Tout commence (ou presque) avec un dénommé Martin Seligman qui s’intéressait au phénomène de résignation acquise. La résignation acquise, mais Valentine, qu’est-ce que c’est me direz-vous ? Il s’agit d’un sentiment provoqué par le fait d’être plongé de façon durable ou répétée dans des situations dans lesquelles l’individu ne peut pas agir et auxquelles il ne peut échapper. Par exemple, vous êtes dans une pièce où un son fort désagréable vous tourmente. Certains individus vont pouvoir appuyer sur un bouton et faire cesser le bruit. D’autres n’auront pas accès à ce bouton, ne chercheront pas de solutions et seront dans une soumission totale à cette nuisance sonore.  C’est comme cela que Martin constate un déficit sur 3 niveaux dans ce phénomène de résignation :

1) Au niveau cognitif : l’Homme serait souvent dans l’incapacité à trouver la solution au problème posé.

2) Au niveau motivationnel :  l’individu serait lent à initier une réponse au dit problème et ferait preuve d’une faible persistance dans le temps.

3)  Au niveau émotionnel : La tristesse, l’anxiété et l’hostilité se font (bien trop) souvent trinité.

Comment faire passer l’individu d’un mode passif à un mode actif ?

 

A ce constat, s’ajoute celui de Milha Csikszentmihalyi. En effet, ce chercheur constate que les  personnes qui sont sorties « indemnes » de la Seconde Guerre Mondiale ne sont pas forcément celles auxquelles nous aurions pu nous attendre (individus respectés, ayant un haut niveau d’études, etc). Qu’est-ce qui aurait donc permis à ces individus de transcender l’horreur de la guerre ?

 

Des années de recherches et d’observation plus tard …

 

LE MINDSET! Et oui, le pouvoir de la pensée influence notre santé mentale !

Regardons les chiffres des études scientifiques de plus près.

Les optimistes ont 2 fois moins de risques de contracter des maladies cardiovasculaires et 14% de risque de décès (toutes causes confondues) en moins que les pessimistes.

De plus, les optimistes ont tendance à le rester en vieillissant.

Elixir de jouvence insoupçonné ?

Rappelons que le mindset se travaille et surtout cela s’entretient ! Comme le fait de maintenir une activité physique régulière ou une alimentation équilibrée, si vous voulez !

Valentine, cela veut dire qu’il existe une psychologie négative ?

 

Gare à ne pas faire d’amalgames et de ne pas prendre de raccourcis !

Jusqu’aux années 1980, la psychologie avait pour but de combler les insuffisances en se centrant sur les faiblesses, d’éviter la douleur, de sortir de la souffrance, d’être dans la norme, d’arriver à se relâcher…. Rien de mal, ou de « négatif » là-dedans. Le focus était tout simplement axé sur le déficit et les personnes dites « malades ». Nous pourrions parler de victimisation ou se demander « Pourquoi échouons-nous ? ».

Avec les années 1980, un nouveau courant de pensées est apparu davantage centré sur les forces, la construction de compétences, la recherche du plaisir, l’accès au bien-être, le dépassement de soi et le fait de vivre pleinement. Il est question de soigner la maladie mentale comme précédemment, tout en aidant à l’épanouissement de l’Humain et à la détection et au développement des talents.  Encore une fois, il est question de focus. Mais cette fois-ci, l’intérêt est porté aux atouts, aux forces et concerne toute l’humanité. Nous pourrions parler de responsabilisation ou s’interroger : « Pourquoi réussissons-nous ? ».

Il est à garder en tête qu’une approche selon les principes de psychologie positive c’est :

Etre autant concerné(e)(s) par les forces que par les faiblesses

Etre autant interessé(e)(s) par la construction des meilleurs choses de la vie qu’à réparer les pires

Etre autant préoccupé(e)(s) par l’épanouissement de la vie des personnes dites « normales » qu’à traiter la pathologie.

Donc ce n’est ni que de la psychologie, ni que du positif !

Parlons peu, parlons bien….

« La Psychologie Positive c’est l’étude scientifique du fonctionnement humain optimum »

Tal Ben Shahar, 2010.